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Histoires X

C'est comme ça chez les gens riches ... (posté le 11/06/2015 à 23:56)

C’était à l’époque où j’étais gouvernante dans une famille aisée de Paris. Un matin, leur femme de ménage vient me voir et me dit qu’il faut que je prenne un bain. Cette demande me stupéfait … Mais comme elle ajoute « Monsieur veut que tu sois propre », je m’exécute : dans ces milieux-là, on ne discute pas.

 

Mais c’est aussitôt une seconde surprise : la femme de ménage me suit dans la salle de bain ! Comme anesthésiée par toutes ces incompréhensions, je commence à me déshabiller, en lui tournant le dos, car jamais personne ne m’avait vue nue, à part mon petit ami. Elle en profite pour me demander si je fais souvent l’amour, ce à quoi je réponds que je le fais « comme tout le monde » ! Alors retentit comme une mise en garde « Maintenant, préparez-vous à le faire souvent ». Et tout de suite sa main se pose sur mes fesses puis glisse sur mon pubis … Je m’écarte sans rien dire pour entrer dans mon bain. La femme de ménage me laisse enfin.

 

Je pensais que tout cela était terminé mais, à la sortie de la salle de bain, la revoilà devant la porte de ma chambre ! Nouvelle question : « Ca vous arrive de vous faire plaisir toute seule ? ». Je tente de nouveau un évitement avec mon « comme tout le monde ». Mais là le ton change : elle me pousse dans la chambre et m’ordonne de me masturber. Je préfère lui donner satisfaction. Après peu de temps, dépassée par toutes ces émotions, je n’ai pu retenir un orgasme et ma démonstration s’est arrêtée là.

 

Elle me dit alors « Dépêche-toi, Madame nous attend, elle va s’impatienter ». Quelques instants plus tard, nous voici devant ma patronne et ce qui s’annonçait gros comme une montagne est arrivé. Elle me demande d’enlever ma jupe. Au point où j’en suis, je m’exécute et son regard fixe alors longuement mes cuisses et mon slip. Puis elle plaque sa main entre mes jambes et, désignant la femme de ménage, elle me dit « Je suis sûre que vous avez pris du bon temps à deux ! ». Tandis que j’essaye de prétendre le contraire, elle presse un doigt sur mes lèvres au travers du slip. Puis elle l’écarte et commence à me pénétrer : tout cela est surréaliste, mais j’avoue que j’ai ressenti du plaisir …

 

Elle m’emmène ensuite dans la pièce voisine, où travaille son mari, et lui dit qu’elle m’a préparée … Il me demande alors de m’allonger sur son bureau, puis il me prend violemment et a une forte éjaculation. Après un « C’était pas mal … », il me demande de faire l’amour à sa femme ! Je tente de refuser, tout ça allant trop loin et, en plus, je n’avais aucune attirance pour ce genre de trio. Mais elle est déjà à moitié déshabillée et ne me laisse pas le choix … Cette expérience a finalement été agréable et je n’ai pas contesté quand ils n’ont dit que l’on se reverrait.

 

Quelques temps plus tard, la femme de ménage m’emmène dans sa chambre pour me présenter une ancienne employée de la maison. Celle-ci me dit qu’elle vient d’apprendre que j’ai dû participer aux « jeux » du patron et me confirme que tout le monde doit y passer … Elle m’avertit aussi que ce qu’il réclamera le plus souvent, c’est d’être sucé et de pratiquer une belle sodomie. Puis elle commence à me caresser le visage : ne sachant pas comment interpréter ce geste, je détourne la conversation en disant que, de toute façon, « Monsieur » m’avait prévenu que je devais me préparer pour aujourd’hui, donc qu’elles d’eux ne risquaient rien ! Mais, au moment de nous quitter, en traversant la salle à manger, qui voilà ? lui-même, en personne, qui se plante devant nous avec un sourire de coin que nous avons compris de suite. Et en effet, voilà qu’il sort son sexe déjà en érection et nous pénètre l’une après l’autre …

 

Voilà comment c’est passé mon séjour chez eux, rythmé par ces rites sexuels obligatoires, mais pas trop mal au fond. J’ai même eu droit, les derniers temps, au fils, un jeune de mon âge, que j’ai bien maîtrisé, car il était encore plus réservé que moi au départ, même s’il ne paraissait pas gêné quand sa mère nous surprenait parfois en pleine action ! Et je dois vous avouer que tout cela m’a fait évoluer et que maintenant j’aime assez multiplier les partenaires …

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Rapports de voisinage (posté le 21/12/2012 à 18:48)

Il y a quelques jours, j'ai été invité à un déjeuner entre voisins. Notre hôtesse était Nicole : je ne la connaissais pas très bien, mais j'avoue qu'elle ne me laissait pas indifférent, c'est pourquoi je suis resté le dernier. Mais, au moment de prendre congé, elle m'a demandé de l'aider à ranger un peu : allait-elle me prendre pour son domestique ??

Après quelques minutes, je l'ai vu partir au fond de l'appartement. Puis j'entendis : "Viens un instant !". Je l'ai trouvée dans son  dressing : elle avait quitté son vieux pull et son jean pour enfiler une très jolie petite robe blanche. "Je me suis dit que tu aimerais me voir comme ça. Qu'en penses-tu ?". Et, tout en parlant, elle tournait sur elle-même ... Je lui ai répondu que j'adorais. "Mon mari, lui, n'aimait pas." "Tu es divorcée ?" "Oui, depuis un mois ...".

Alors je me suis avancé vers elle, en lui disant : "Depuis que je te connais, tu ne me laisses pas insensible". "Ca, je m'en suis aperçue ... et j'avoue que ça m'excite". Ne pouvant laisser passer une telle opportunité, j'ai commencé à l'embrasser. Bien loin de se dégager, elle a posé ses mains sur mes hanches et poursuivi ce baiser langoureux. Je me suis enhardi à lui caresser le pubis au travers de sa robe et elle a répondu en me mettant la main aux fesses ! A mon tour je glisse une main dans sa culotte : elle se met à me déshabiller pendant que je la masturbe vigoureusement ... et, comme elle ne portait pas de soutien-gorge, je dégage de sa robe l'un de ses jolis petits seins en lui disant : "J'ai envie de te pénétrer". Le souffle court, elle me répond : "Vas-y".

Alors je me mets à genoux pour lui enlever sa culotte et contempler les lèvres de son sexe déjà rouges de plaisir ... Après un regard pour m'assurer qu'elle est prête, j'excite avec la langue son clitoris en érection, puis je lui prends le sexe à pleine bouche. Elle presse ma tête contre son corps, les yeux fermés : bref, elle jouit !

Je décide d'arrêter pour finir de la déshabiller et je lui dit de s'allonger sur le lit. Je suis nu devant elle, le sexe bien raide. Je sais qu'elle brûle d'envie que je la prenne mais, de façon assez étonnante, elle semble un peu intimidée ... Je m'étends à ses côtés, ma verge près de ses mains. Elle attrape alors un préservatif et, pendant que je le pose, elle me caresse tout le corps : quelle sensation ! Puis je me place sur elle pour la posséder et là, en me braquant droit dans les yeux, elle ramène ses genoux sur les épaules et place résolument mon sexe dans son anus. Je bande à mort !!

Une fois bien à fond, elle me met les mains sur les épaules et ne bouge plus. Je suis fasciné par sa poitrine qui monte et descend sous mes coups de boutoir. De temps en temps, elle se redresse pour me faire un french kiss d'enfer. L'orgasme n'est plus loin ... En effet, une convulsion la cambre, j'accélère le mouvement pendant qu'elle se caresse frénétiquement le clitoris. J'écrase ses seins dans mes mains : elle crie ! Vous vous rendez compte, c'est moi qui la fait jouir !! Son absence de pudeur me trouble, et du coup je lache tout mon sperme dans le préservatif, déclenchant chez elle un ultime orgasme ...

 

 

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C'est mon épouse ! (posté le 11/03/2011 à 14:29)

Ce soir là nous recevions Bruno, car mon épouse voulait offrir une partie à trois à cet ami accablé par un ensemble de problèmes. Elle était tellement désireuse de le faire que je n’ai pas su lui refuser. En outre, j’avoue que ça m’excitait un peu …

La voilà donc assise dans le canapé à côté de Bruno, qui la prend dans ses bras et se met à l’embrasser goulument : je sens très vite une jouissance me gagner, et je glisse une main dans mon slip pour empoigner mon sexe déjà en érection et commencer à le masturber.

De la même façon, mon épouse pose sa main sur le sexe de Bruno, qui du coup enlève le bas et se plante devant-elle, ce qui nous déstabilise un peu ! Il était en effet bien membré, et on n’avait jamais eu l’occasion de le voir … Le reste de son corps, bâti comme une armoire à glace, et son crâne rasé plaisaient bien aussi à mon épouse. Face à ses gros testicules, son sexe très tendu et son gland bien gonflé, je ne fais pas le poids !

Alors Bruno se laisse caresser les fesses et demande une fellation : j’ai la désagréable impression que mon épouse y prend plus de plaisir qu’avec moi … Elle procède à une masturbation tout en suçant le gland. A force de sentir cette douce chaleur, Bruno ne va certainement pas tarder à éjaculer. Elle accélère le rythme, empoigne ses testicules tout en regardant son visage qui se crispe peu à peu. Il lui dit : « Vas-y, vas-y … » et j’ajoute : « Oui, c’est une bonne suceuse ». A ce moment, je n’ai pu m’empêcher de ressentir une certaine jalousie. C’est une fellation à pleine bouche, qui le fait renchérir : « C’est bien, continue, il y a longtemps que j’ai envie de te faire l’amour ». Oui, décidément, il a un sexe comme les femmes les aiment, et la scène me pousse à activer ma propre masturbation … Bruno, quant à lui, essaie de maintenir le visage de mon épouse plaqué sur son pubis, puis subitement il dit : « Ca y est, je vais tout lâcher ». Effectivement, son corps se tend, il pousse un cri et éjacule. Mon épouse se dégage, le regarde, et elle reçoit alors les derniers jets de son sperme chaud tandis que sa bouche laisse échapper la semence déjà reçue … Bruno nous remercie alors tous les deux pour ce que nous lui avons offert.

Puis mon épouse me dit, en regardant mon pantalon gonflé : « Tu as besoin de relâcher ta tension ! ». Impossible de le nier … J’enlève donc à mon tour le bas et la fellation commence, rendant mon sexe encore plus raide. Quelle douceur ! Je me sens pleinement détendu, sur un petit nuage : son plaisir, la montée de sa jouissance me font plaisir, je finis par éjaculer violemment. Elle se lèche les lèvres pour ramasser mon sperme.

Et moi, j’ai encore envie d’elle, mon sexe toujours gonflé rêve d’une bonne sodomie. Je caresse ses fesses douces et musclées, puis je glisse mon gland jusqu’à son anus et je crache dessus pour entamer un doigtage avec un puis deux doigts.

Ensuite, j’introduis lentement mon sexe : ça m’excite que mon épouse tourne la tête pour me regarder. Me voici arrivé à fond, sans difficulté particulière car nous pratiquons régulièrement la sodomie. J’accélère le rythme et elle commence à crier. Je lui demande : « Tu sens bien ma queue ? » « Oui, je la sens vraiment bien » Je rajoute : « Tu es bonne toi, j’ai envie de te satisfaire » et je la pilonne de plus belle pour finalement lui lâcher une belle giclée.

Comme nous méritons tous un peu de repos, nous décidons de boire un verre, avec mon épouse entre nous-deux. Mais elle nous quitte rapidement, du sperme sortant de son corps. Très excité, Bruno me dit : « Je suis scotché : elle cache bien son jeu ! ». Je lui réponds : « A vrai dire, elle n’est pas comme ça d’habitude ». Du coup, il me demande si elle n’aurait pas un amant. Je le rassure sur sa fidélité et il conclue : « Quoi qu’il en soit, c’est bien comme ça ! ». Le problème, c’est qu’il ne part pas, alors que j’aimerais rester en tête à tête avec mon épouse. Il n’a pourtant plus rien à éjaculer ! Par contre, il va se soulager pendant que je termine tout seul mon verre.

Au bout d’un moment, ne voyant personne revenir, je me dirige vers la salle de douche, dont la porte est fermée, mais j’entends Bruno dire : « J’ai toujours envie de te faire l’amour ! », et mon épouse qui lui répond : « Oui, vas-y ». Du coup, j’ouvre la porte et, surprise : elle est en train de se faire sodomiser ! Je leur demande alors d’arrêter pour qu’on puisse se retrouver seuls, mais Bruno me lance : « Laisse tomber, tu vois bien qu’elle aime ça ». C’est vrai que son visage, ses yeux rivés au plafond, ses cris  révèlent sa jouissance et, sans plus s’occuper de moi, il continue à la lui mettre bien profond. Quelques instants plus tard, il ajoute : « Que veux-tu, c’est une baiseuse. Tu ne vas pas t’en plaindre, quand même !». Puis, un peu irrité, il ordonne à mon épouse de me refaire une fellation.

Elle se place face à moi, me lèche le gland et, très vite, je retrouve une érection, tandis que Bruno reprend la sodomie en se claquant bruyamment sur ses fesses et en commentant : « C’est aussi une bonne suceuse ». C’est vrai que je suis assez fier de voir l’énergie qu’elle développe pour me faire jouir, et de nouveau je lui éjacule dans la bouche. Quelques instants plus tard, arcbouté sur elle, Bruno fait de même. Je vois l’extase dans le regard de mon épouse …

Pour tout vous dire, une fois notre invité enfin parti, nous avons remis ça une dernière fois dans notre lit !

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Ah, ces jeunes ... (posté le 12/02/2011 à 00:36)

C’était le début de la soirée, et j’étais en train de prendre l’air dans mon jardin quand j’ai entendu sonner. C’était Sylvain, qui venait voir ma fille, mais elle était absente. Bien qu’il n’avait qu’à peine 18 ans, je savais qu’il aurait bien aimé me faire l’amour : c’est donc consciemment que je l’ai invité à entrer pour boire un jus de fruit. Me trouver seule avec lui, dans une petite robe légère, faisait battre mon cœur beaucoup plus vite … J’aurais pu faire le premier pas, mais je ne le voulais pas. 

Nous étions tous les deux dans la cuisine. Après avoir rempli les verres, je l’ai regardé droit dans les yeux un instant, puis je lui ai dit : « Tu peux me faire l’amour si tu veux ».

Je l'ai laissé poser les mains sur moi et le plaisir a déjà commencé à m'envahir, d'autant que je n'avais plus eu de relations depuis longtemps ... Il m'a caressé les fesses en tremblant un peu, puis, comme j'avais envie de lui, je l'ai emmené dans la chambre.

En jouant maladroitement à l'homme expérimenté, il m'a enlevé ma robe et je me suis allongée. Après avoir longuement contemplé mes seins, il a caressé mon ventre, ce qui a décuplé mon plaisir. Me voyant réceptive, il m'a retiré ma culotte puis m'a léché le sexe. Je lui tenais la tête plaquée contre moi et, comme j'approchais de l'orgasme, je lui ai proposé un préservatif.

Je ne savais plus où j'en étais : vous imaginez, au lit avec un copain de ma fille ! Quand il s'est allongé de tout son poids sur moi, j'ai remonté les genoux sur les épaules comme pour recevoir un amant confirmé. J'ai senti la chaleur monter au fur et à mesure que son sexe avançait dans mon vagin : c'est drôle comme un encore presque ado peut nous faire jouir ... Je dois préciser que j'étais peu habituée à avoir des orgasmes, mais avec lui c'était en bonne voie ! Il me prenait comme un animal, de façon très saccadée, et tout mon bas-ventre en était contracté : il en avait conscience et a voulu continuer dans une autre position. Comment aurais-je pu lui refuser ?

Alors je me suis mise en levrette, le dos bien cambré : il s'est agrippé à moi et m'a enfoncé son pieux dans le vagin. J'étais une vraie garce, et ça m'a fait plaisir ... Je me suis regardée dans le miroir de la garde-tobes, et ça m'a excitée de me voir traitée comme une chienne par un jeune garçon quasiment inconnu : si un jour on m'avait dit ça ! Puis, d'un seul coup, un orgasme a envahi mon corps : j'ai senti que je lubrifiais un max, j'étais totalement offerte et il me disait : "Vas-y, crie !". Il a alors eu une forte éjaculation et son sexe gonflé à bloc a dilaté mon vagin, m'apportant une extase sans nom. J'étais plutôt flattée d'avoir su séduire un aussi jeune homme et ça me rendait très heureuse. Nous sommes allés ensuite prendre un bain et je n'ai pu m'empêcher de le faire jouir une dernière fois en le masturbant ...

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Une nuit avec deux maghrébins (posté le 03/02/2011 à 00:32)

Après une soirée un peu arrosée passée chez lui, mon ami Mohamed m’a proposé, ainsi qu’à un autre invité, Youssef, de rester dormir sur place.

Avant d’aller nous coucher, il nous a offert un dernier verre, que je n’ai pas osé refuser … ce qui m’a rendue définitivement pompette ! Mohamed et Youssef me regardaient, tout en parlant en arabe. A mon avis, ils en voulaient à mon décolleté ! J’ai donc enlevé un bouton de plus prétextant que j’avais chaud.

Youssef me dit alors : « Vous êtes très bien faite ! ». Je lui réponds : « Merci, mais j’ai quelqu’un dans ma vie … ». Cela ne l’empêche pas de venir à côté de moi et d’ajouter : « Vous devez  être agréable à regarder déshabillée ». Un peu inquiète quand même, je réponds : « Peut-être … ». Mais son regard braqué sur moi et son physique attractif m’excitent aussi beaucoup.

Et là Youssef tente le coup de déboutonner mon chemisier : je le laisse faire. Il a admiré ma poitrine à peine dissimulée par mon soutien-gorge noir, qu’il s’est empressé de m’enlever après m’avoir rapidement palpé les seins. Mes mamelons, bien pigmentés, étaient déjà complètement en érection. Je les lui ai mis sous le nez alors que ses mains commençaient à se faire baladeuses.

 Puis il m’a embrassé les lèvres entrouvertes et nous avons mis tous les deux la langue : c’était clairement parti, et je me suis laissée faire. Il a pris ma main pour la poser sur son sexe déjà en érection : j’ai alors ouvert son pantalon pour en sortir un membre d’une vingtaine de centimètres, gros et bien raide … bref, un sexe d’Arabe. Voyant que je le contemplais sans plus bouger, il m’a demandé si ça m’intimidait : pas vraiment, mais je n’en vois pas des comme ça tous les jours ! Alors, sur un ton impératif, il m’a dit de lui faire une fellation : je me suis exécutée en me mettant à genoux et en commençant à lui sucer le gland lentement. Son sexe prenait encore plus de volume et je l’avais maintenant à pleine bouche ; ma respiration devenait difficile. J’essayais quand même de poursuivre un va-et-vient. Youssef ne quittait pas des yeux son formidable sexe et le plaisir qu’il me procurait. Tout en prenant ma tête dans ses mains, il m’a félicité et m’a demandé de lui prendre les testicules dans la bouche … 

C’est alors que Mohamed est venu derrière moi et m’a retiré ma jupe … j’étais dans une position très offerte, qui ne peut que tenter ! Il m’a caressé les cuisses, de l’extérieur vers l’intérieur, pour ensuite essayer d’enlever mon string : j’ai eu un instant d’hésitation, mais il a imposé sa volonté. Après m’avoir caressée encore une fois, il a entamé un cunnilingus qui m’a mis le clitoris en érection.

J’ai écarté progressivement les cuisses au fur et à mesure que je mouillais et que Mohamed léchait cette sécrétion. Puis je lui ai dit que j’avais envie de lui : alors il m’a caressé les fesses, que j’ai douces et bien musclées, les a écartées pour regarder mon anus, et a continué en se frottant le gland contre mon sexe et en lançant : « Je crois qu’elle a envie de moi ». Alors Youssef lui a répondu : « Qu’est-ce que tu attends ? »

Du coup il m’a pénétrée et je n’ai pu retenir mes gémissements. Mais il s’est vite retiré pour revenir de plus belle, ce qui m’a donné beaucoup de plaisir. Même si son sexe n’était pas spécialement grand, il me travaillait bien, car il était très raide. Il a recommencé plusieurs fois à se retirer et à rentrer encore plus sauvagement, ce qui a fait monter ma jouissance. Aussi, quand il m’a félicité pour mon sexe bien poilu et que Youssef m’a dit : « Et toi, tu aimes les Arabes ? », j’ai lâché : « Oui, vous êtes de vrais chiens ! ».

 Les pénétrations devenaient profondes, et j’approchais de l’orgasme : Mohamed était un merveilleux amant, je ne savais plus où j’étais … ses coups de pilon me faisaient d’ailleurs négliger le sexe de Youssef, qui me l’a fait remarquer !  

Alors j’ai pris ce membre bien proportionné et raide à pleine bouche, puis j’ai léché et sucé son gland : ça m’a changée du petit sexe de mon compagnon ! Bref, on s’éclatait un max ! Bientôt, Youssef, au bord de l’orgasme, a lâché : « Je ne vais plus pouvoir tenir » … et il m’a inondé la bouche : le visage quasiment écrasé sur son pubis, j’ai avalé son sperme chaud pour ne pas être asphyxiée. Il a eu en fait plusieurs éjaculations, puis j’ai repris la fellation pendant qu’il retrouvait son calme tout en me complimentant.

Probablement excité par la scène, Mohamed a joui à son tour en me balançant sa giclée : criant de plaisir, j’ai eu alors plusieurs orgasmes coup sur coup, qui m’ont laissée en levrette, totalement épuisée … Mes deux partenaires se sont retirés, même si mon amour du sexe leur donnait certainement envie de continuer !

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19 ans et obsédée du sexe ! (posté le 13/11/2010 à 23:43)

Normalement, je ne sors que là où il y a des jeunes, mais, le mois dernier, je me suis retrouvée dans un café de vieux. Je les ai dévisagés à tour de rôle et je me suis dit que j’aimerais bien voir ce que ça fait d’avoir des relations avec un vieux. Du coup, je me suis approché de l’un d’eux pour engager la conversation et, comme ça se passait plutôt bien, je lui ai proposé de venir chez moi.

On a d’abord continué à parler gentiment, lui de sa femme, moi de mes copains. Puis, ne pouvant plus me retenir, j’ai lâché : « J’aimerais bien voir ton sexe ». Il a paru déstabilisé et, comme il ne répondait pas, je lui ai proposé en échange de le laisser regarder mes seins (qui sont très biens !). Le silence durant, j’ai pris l’initiative d’enlever mon chemisier : toujours pas d’effet. Je m’impatiente et lui dis : « Allez, sors-le ». Il était plutôt pétrifié. Alors j’ai dégrafé mon soutien-gorge et j’ai commencé à me caresser les seins en l’invitant à m’exciter les mamelons avec son sexe. Je prenais des positions de plus en plus provocantes et j’en suis arrivée à enlever aussi ma jupe. Et là, miracle : il retire pantalon et slip et, comme son sexe était peu gonflé, il commence une masturbation.

C’est la première fois que je voyais le sexe d’un vieux : sans quitter des yeux son engin propret et ses deux petits testicules, j’ai glissé une main dans ma culotte pour me stimuler le clitoris. J’avoue que j’avais bien envie de prendre son sexe : je lui ai donc proposé une fellation. Toujours sans dire un mot, il s’est approché de moi : son sexe n’était pas encore très raide, mais ça commençait à ressembler à quelque chose. Le gland était assez gonflé et en partie décalotté. Oui, il ne s’en tirait pas trop mal.

En ce qui me concerne, je reconnais bien volontiers ne pas être une experte de la fellation, et ne pas trop la pratiquer : mais bon, ça n’empêche pas d’avoir envie … J’ai donc commencé par lui faire quelques suçons, puis je lui ai pris le gland dans la bouche. Et là, surprise : son sexe s’est bien raidi ! Mais, au lieu de rester, il s’est retiré et a recommencé à se masturber. J’ai attendu de voir ce qu’il voulait : l’attente ne fut pas longue, puisque j’ai bientôt reçu une projection de sperme. Que j’aime cette odeur ! Quelques secondes plus tard, il m’a de nouveau éjaculé sur le visage, mais pas très fortement : normal à son âge  … Mais ça m’a quand même bien plu.

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Une soirée très particulière (posté le 10/10/2010 à 00:01)

J'avais depuis longtemps l'envie d'un trio avec ma compagne, Christine, et un autre homme. J'en avais donc parlé à une connaissance, Pascal, d'origine tunisienne, qui était d'accord. Ayant enfin choisi le jour J, je lui avais demandé de se tenir prêt à venir au premier appel, afin de ne pas trop laisser le temps à ma compagne de réfléchir ...

Donc, à un moment où nous allions passer à la vitesse supérieure après quelques baisers, je lui propose un alcool fort et lui expose mon souhait : tombant des nues, elle semble plutôt apeurée, ce qui m'oblige à ramer pour lui faire accepter cette idée. Puis je la brusque un peu en lui disant que Pascal est un homme respectueux, discret, et que l'on va encore plus s'aimer ... et je décroche mon téléphone !

Dix minutes plus tard, Pascal entre dans la maison : Christine semble plus résignée que convaincue. Comme chacun attend on ne sait pas quoi, je leur dis : "Allez, soyez pas timides". Pascal s'approche de Christine, commence à l'embrasser, puis à la serrer de plus prés. Je m'approche d'elle à mon tour pour l'embrasser aussi, je lui enlève son tee-shirt et, après lui avoir dit de se tourner vers Pascal, j'ai dégrafé son soutien-gorge pour exposer ses très beaux seins. Pascal s'avance pour lui prendre un sein en pleine main, puis son autre main descend sur les fesses pendant que je m'occupe des épaules. Coincée entre nous-deux, Christine ne peut refuser mes baisers, ni les lèvres de Pascal qui viennent attraper un mamelon : la rougeur arrive sur son visage ... J'indique alors où est la chambre à Pascal et Christine suit sans faire de difficultés.

Elle s'allonge sur le lit, je lui enlève son jean, dévoilant ainsi ses jambes bien dessinées et son petit slip rouge. Elle parait plus détendue, et nous commençons à lui caresser les cuisses. Pascal se met ensuite à lui sucer les seins, pendant que j'entame un cunnilingus, pour ensuite lui lécher tout le sexe. Christine a le souffle de plus en plus court. Alors Pascal se déshabille et s'installe sur sa poitrine avec son grand sexe en érection : il ne faut pas longtemps à Christine pour lui prendre à pleine bouche. Personnellement, je continue à exciter son clitoris : elle commence à tordre ses hanches, au point d'abandonner sa fellation pour laisser sa tête tourner d'un côté et de l'autre ... Mais Pascal ne veut pas en rester là et il lui remet de force tout son sexe dans la bouche ! Stimulé à mon tour, je lui relève les jambes pour passer à un anulingus, suivi d'une sodomie avec un doigt. Pascal se retire alors pour me regarder faire et apprécier l'orgasme qui vient.

Pour encore amplifier notre plaisir, je dis à Christine de se mettre en position pour une levrette : Pascal se masturbe pendant que je la prends brutalement. Puis je lui laisse la place en disant à Christine : "Ca te fait envie, hein ? Tu mouilles là, tu n'a pas l'habitude des gros sexes !". Elle ne répond pas, mais je sais qu'elle apprécie : le premier cri ne tarde pas, il sort régulièrement son sexe pour le replacer encore plus profondément ... Christine est presque exténuée, mais quand je lui demande de me sucer, elle le fait sans rechigner, plongée dans la jouissance. Bien que toujours en érection, Pascal s'arrête et vient s'allonger sur le lit. Christine doit penser qu'il veut une Andromaque : elle se met sur lui, les mains sur sa poitrine, enfonce son sexe dans son vagin et commence à s'agiter frénétiquement. Je lui caresse les fesses, tandis qu'elle vient rapidement à haleter et que Pascal a du mal à se retenir : elle est maintenant libérée et ses fesses claquent bruyamment.

Je lui dis alors : "Allez, on va en finir !". Je la cambre au maximum et j'entame une sodomie bien profonde, mais d'abord lentement, le temps d'assouplir l'anus. Les cris viennent progressivement et Pascal se place pour une pénétration vaginale. Avec deux sexes en elle, ses cris se rapprochent de plus en plus. Nous accélérons tous les deux le mouvement : les yeux clos, Christine, à moitié asphyxiée, déclenche orgasme sur orgasme, Pascal éjacule violemment ... Alors je m'arrête et je mets mon sexe bien raide devant le visage de Christine : elle commence une fellation comme par automatisme, mais je ne peux plus rien contrôler et je lui lâche mon sperme au fond de la gorge ... Puis je lui dis : "C'est bien, tu peux aller te refaire une beauté". Elle part dans la salle de bain, nous nous rhabillons et voilà : c'est fini !

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